2 réflexions au sujet de « La CNV de Marshall Rosenberg »

  1. Bonjour
    merci pour ce texte qui exprime merveilleusement bien, de manière parfaitement claire et en peu de mots, l’essence de la CNV.
    En plus de toutes ces qualités, il m’a permis de comprendre que je vis vraiment très souvent dans la peau d’un chacal! Curieusement je n’avais pas réussi à l’admettre à ce point en lisant le livre de Rosenberg (Les mots sont de fenêtres…).
    Bien entendu cela ne remet en rien en question ce livre magnifique, dont je n’ai pas fini d’explorer les richesses.
    Mais j’ai été surprise de constater que l’identification à l’une ou l’autre bestiole m’a permis (je suppose) de mieux voir en face l’étendue du chemin qui me reste à parcourir, cela bien que je pense avoir moi aussi « un cœur gros comme ça ».
    La question étant peut-être (qu’en pensez-vous?) : comment (oser) donner la parole au cœur, passer du mode automatique au mode « manuel »?

    Je vous salue pour ce bel article, et de manière générale pour votre site qui est très stimulant, amusant, réfléchissant.

    Françoise

    • Merci pour vos remarques, je suis très content de contribuer et de transmettre ce que j’ai appris. Comment passer du mode automatique (chacal) au mode manuel (girafe) ? En faisant des pauses, en prenant le temps de comprendre ce qui se passe à l’intérieur de soi, pour être en paix avec soi.
      Ce travail est de longue haleine. J’ai découvert la CNV en 2004 et suis toujours sur le chemin.
      Tenez un journal de bienveillance, notez les besoins couverts ou non couverts de la journée. Il vous rapprochera de vos besoins, de ce qui est vivant en vous, le chacal (que vous pouvez avoir du plaisir à faire parler) ou la girafe (qui montre sa vulnérabilité humaine). Je vous envoie un exemplaire de journal….

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