Nous avons poursuivi notre recherche sur les besoins cachés des phrases cliché ou passe-partout.
Au menu : « je ne savais pas »
Le stimulus et le besoin
Voici quelques phrases stimulus anodines :
- Il fait 32 degrés dehors.
- J’ai vu ta sœur hier.
- Je suis allé voir ma mère malade hier.
Le besoin sous-jacent fut surtout celui de la connexion. Dans certains cas, ce fut l’empathie ou la bienveillance.
La réponse et le besoin
Dans tous les cas, ce fut un besoin de paix et de tranquillité reformulé par une participante en « j’en n’ai rien à faire »
Une solution consiste à répondre :
« Si tu veux, on change de sujet »
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