Dans ce mode de fonctionnement, le pouvoir est partagé pour un objectif donné et les besoins personnels sont respectés.
Partager le pouvoir pour atteindre un objectif donné
Le partage de pouvoir semble être la pratique la moins partagée. Beaucoup de personnes ont peur du chaos. C’est vrai… si l’objectif n’est pas défini. D’où l’intérêt d’y accorder votre plus haute attention.
Vision, mission et objectifs
Dans une organisation bienveillante, l’objectif commun est gardé avec constance, les relations sont privilégiées sur les règles et les membres sont valorisés par des réunions individuelles. L’objectif commun peut être construit à partir des objectifs individuels.
Dans l’association libanaise qui oeuvrait pour la prévention de la drogue, l’objectif commun était « Travailler dans une entreprise où chacun est responsable de sa tâche et peut apprendre d’autres métiers ». Il tenait compte du besoin d’apprentissage des stagiaires.
Partage du pouvoir
Dans un mode de gouvernance bienveillant, la direction de l’entreprise est prête à partager son pouvoir. Elle accepte que sa voix pèse autant que celle des autres dans le cadre de prises de décision concernant la politique générale, telles que la mise au point de l’ordre du jour des réunions ou la rémunération du personnel. Les décisions se prennent par consensus. Chacun a un droit de veto, y compris le dirigeant.
Les besoins personnels permettent connexion et motivation
Deuxième critère important, tous les besoins personnels sont pris en compte. Ce point est crucial pour la résolution de conflits. Si une personne s’oppose par exemple à l’élection d’une autre, il est très important de prendre le temps d’identifier le besoin caché derrière l’objection. Celle-ci est un gage de réussite de la proposition.