Dans notre dernier groupe de pratique nous sommes parti du stimulus d’un père à sa fille qui lui disait : on n’est pas à la maternelle ici….

L’école maternelle

Et nous avons cherché les besoins de chacun ainsi que quelques stratégies.

Les réponses spontanées et les besoins de la fille

Les réactions spontanée furent « Je voulais juste jouer, on est tous ensemble. Il n’y a pas de problème. » de manière gentille et « Apprends à parler » en mode chacal.

Derrière ces réactions nous avons trouvé des besoins de bienveillance, de jeu, de paix, de connexion et de respect mutuel ».

Les besoins du père

Les besoins spontanément exprimés du père furent la sécurité et de ne pas avoir de jugement par rapport à l’éducation donnée à sa fille et de se poser la question « Est-elle capable de se défendre dans la vie ? »

Un besoin fondamental fut de faire le deuil et de célébrer la vie… de sa fille. Avoir confiance en la vie permet de lâcher la règle pour l’empathie…

Comment satisfaire un besoin d’avoir confiance dans la vie et un besoin de bienveillance ?

Une stratégie proposée fut de célébrer ou faire le deuil de ce que chacun attend de la vie actuelle ou passée en respectant l’intimité de chacun. Une deuxième que le père raconte à sa fille ce qu’il a apprécié dans sa vie.

En conclusion : accepter le destin de ses enfants

Un parent qui se repose sur son enfant lui fait porter un poids trop lourd et il l’empêche de grandir… Bert Hellinger disait « Quelqu’un qui se fait du souci pour ses enfants veut les tuer ». Alors, accepter le destin de vos enfants et ayez du plaisir à les voir grandir et à les aider s’ils en ont envie.

Si vous avez des remarques, laissez-moi un commentaire.