Notre dernier stimulus était « tu dis que tu as un côté guerrier pour ne pas dire agressive ? »
Voici les besoins sous-jacents…
Le contexte
Voici le dialogue rapporté :
A : une énergéticienne m’a dit que j’avais un côté guerrière.
B : tu dis ça pour ne pas dire agressive.
Les besoins
A : Tu trouves que je suis agressive ?
G : Aurais-tu besoin d’empathie et d’être acceptée comme tu es ?
…
G : de clarté ?
A : oui, j’aimerais bien savoir si tu penses que je suis agressive.
G : hier, tu m’as dit que… alors que j’avais besoin d’empathie… et c’est pour cela que… Et sois consciente que ma réaction n’a rien à voir avec toi. C’est parce que j’avais besoin d’empathie et je n’ai pas réussi à tel le dire. Et comment c’est pour toi ?
A : je te remercie pour cette clarté et cela m’aide à avancer, à comprendre les relations et cela fait du bien à notre relation. Je te remercie pour ta sincérité.
Les réponses possibles
Voici une réponse adéquate…
Suivi de « et maintenant, que puis-je faire pour toi ? »
Et la réponse fut « rien de plus, cela m’a suffit car cela a clarifié ce qui s’est passé en moi ».
Voici nos besoins :
Il peut arriver que, pour remplir le besoin de préserver son temps, vous n’ayez pas envie de poursuivre la conversation avec quelqu’un qui vous dit que vous êtes agressif.
En conclusion : clarté à tous les étages
Nos deux protagonistes ont besoin de clarté, de l’intention pour le récepteur et de clarté intérieure, de connexion à soi pour le chacal. Il pense que la personne est responsable de son état alors que ce n’est pas le cas et il se « déconnecte » de lui-même.
Si vous avez des remarques, laissez-moi un commentaire.